Des Normandes et des Normands au salon de l'agriculture à Paris 2013
Des animaux ou des élevages rencontrés à la Chandeleur de Montebourg. aux trois lauréates : DIXSEPT, DIDEFIX,
ETAMINE qu'on voit ici photographiées, il manque UTAH-BEACH.
Aux bovins faut ajouter les moutons comme l'Avranchin ou le Cotentin et puis les ânes et les chevaux (c'est pour demain)
En attendant le tri des photos réalisées au salon de l'agriculture de paris, un zoom sur une normande du GAEC
LEQUERTIER de Golleville que vous avez rencontré avec moi à la Chandeleur de Montebourg. Etamine revient avec au moins trois citations dont un prix d'honneur jeune et un premier prix
espèce bovine.
Pour accéder aux classements des Normandes, clic ICI
Il faut bien admettre que par les temps qui courent, rien ne vaut une bonne soupe de légumes, avec de la
graisse à soupe et trempée avec du biscuit.
depuis le mois d'octobre, dernière parution consacrée au biscuit, je n'ai pas vraiemnt d'informations nouvelles, si
ce n'est que j'ai rencontré des boulangers qui utilisent un pique-biscuit pour précsiément piquer la pâte levée juste avant la mise au
four.
Deux modèles un peu semblables, le premier est une fabrication maison le second provient d'un achat
catalogue.
Pour s'assurer de la qualité du biscuit il faut aussi le retourner et le frapper avce son doigt pour vérifier
qu'il "sonne bien". un boulanger m'a assuré que des clients s'assurent qu'il est "cuit" à point en le rompant pour constater que l'intérieur possède une belle couleur brune. Et il a
ajouté, un bon biscuit doit pouvoir se tailler à la main, sans couteau.
Légume du jour : radis de Chine, made in Val de Saire
Les agriculteurs bio ont un autre avantage , ils diversifient leurs productions.
Un exemple ici, le radis de Chine. Rond, il mesure de 7 à 10 cm de diamètre. Extérieurement la couleur verte et
blanche le rend très banal. Mais quand on le découpe en rondelles, surprise, l'intérieur par la couleur ressemble à la pastèque.
Moins piquant que le radis "commun vulgaris" je le préfère en mélange avec de la salade ou de la carotte
râpée.
Quelques images d'arvchives, vers les années 70, autour de l'élevage laitier. les bidons à la barrière de la
ferme témoignaient de l'importane de celle-ci. Une exploitation de 100 vergées (20 hectares) était-elle encore le signe d'une certaine richesse ?
La dernière baratte de l'usine de la Pointe de saire à Quettehou.
Salut l'ami Dédé, la traite s'effectuait encore à la main et pas seulement dans les toutes petites
exploitations.
J'entendais il n'y a pas très longtemps que l'un des grands progrès a été la mise en place des clôtures
électriques. elles évitaient, deux fois par jour d'aller tierrer les vaches pour qu'elle mangent de l'herbe fraîche.
N'allez pas le répéter mais le soir à la sortie de l'école, dans le champ Saint Firmin, un des premiers à être
équipé avec une clôture électrique, nous formions des chaînes pour tester la conductibilité et vérifier si seul le dernier ressentait la décharge électrique ou vérifiat que l'herbe
est meilleur conducteur qu'une brindille sèche de bois. ......
Une normande allaitant un veau qui lui n'est pas normand.
A chacun sa façon e sez tenir accroupiu pour traire une
vache.
Quel titre choisir pour cette publication car j'imagine que les moteurs de recherche ne croulent pas sur les
interrogations "buvard"; j'imagine aussi aue les plus jeunes ne connaissent pas ce qui a accompagné nos pages d'écritures à la plume
d'encre violette.
Dans les années 50, j'ai effectivement constitué une collection de buvards, support de ce qu'on appelait
à l'époque "réclame" et non pas promotion ou publicité. Celui qui est présenté ci-dessus situe l'époque et pour l'avoir redécouvert hier, je doute avoir tout compris quand je l'ai utilisé.
Qui se souvient du plan Marshall ?
J'ai choisi de montrer quelques exemplaires en ciblant des enseignes
locales.
Il n'est pas nécessaire de disposer d'une serre pour récolter des citrons dans le Val de Saire. La production,
certes limitée offre de jolis parfumsbien plus puissants que ceux du commerce. Si le gel persiste, ces citronniers sont recouverts d'un voile.
Pour des recettes avec du citron, rendez visite à soda81
Agroalimentaire : donner la place aux circuits courts
Actuellement je suis contraint à des déplacements fréquents, le temps me manque un peu, mais il est un sujet
que j'aurais aimé développer, l'actualité étant ce qu'elle est, c'est celui de l'agroa limentaire et des marchés et des circuits courts dans la distribution.
En illustation, pas nouvelle, j'en conviens, des vaches nourries à l'herbe et dont les produits sont
transformés sur place et vendus localement.
Certes dans le Val de saire il est plus facile de s'approvisionner de la sorte, mais je suis quelque peu, sinon
beaucoup, effrayé que dans des "grandes surfaces" du Pays Val de Saire, on vende quelquefois, du poireau de Belgique, à la barrière d'un champ complet de ce légume. Notre conduite de
consommateur appelle elle aussi des révisions.
Découverte du Val de saire (Manche), photos,actualité, évènements, communes, activités. Partagez avec moi le plaisir de decouvrir et apprécier ce coin de la MANCHE nord-est.