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histoire locale

Livre du mois "La barque à Eugène"

Publié le par Ph L

Livre du mois "La barque à Eugène"

Livre du mois "La barque à Eugène"

Pour les amateurs d'histoire locale écrite par des locaux.

un couple allemand s'enfuit en 1938 de son pays avec l'intention de gagner l'Angleterre. leur périple les mène à Barfleur où Franz et Edwig NOWINSKI volent une barque ...

Livre du mois "La barque à Eugène"

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Barfleur, Rue Saint Thomas, à propos de Thomas Becket

Publié le par Ph L

Barfleur, Rue Saint Thomas,

à propos de Thomas Becket

Barfleur, Rue Saint Thomas, à propos de Thomas Becket

Thomas Becket 1117 1170

Barfleur connaît une rue saint Thomas Becket. Quels liens peuvent exister entre cet archevêque et la commune. Précisons qu'il s'agit de la rue principale communément désignée "rue saint Thomas" . Il semblerait que ce soit le seul lien actuel entre ce personnage et la commune ou la paroisse, ni statue, ni vitrail.

Ailleurs en Normandie il est très présent, même si sa notoriété a été beaucoup plus grande qu'elle ne l'est aujourd'hui.

Une confrérie fut fondée en cette paroisse en 1346 sous le vocable de saint Thomas Becket. Elle eut son siège chez les Augustins.

"Il est probable que l'église des Augustins, qui existait encore intacte en 1789, remontait à l'époque de la fondation du couvent (1286?). Elle était sous le vocable de saint Thomas. Les deux chapelles étaient dédiées l'une à Saint-Cosme, l"autre à Saint-Nicolas." Abbé Bellot et louis Drouet

Barfleur, Rue Saint Thomas, à propos de Thomas Becket

 

Les cathédrales de Bayeux et Coutances témoignent de l'importance de ce personnage au XII ème siècle durant le règne de Henri II roi d'Angleterre et duc de Normandie (1150 - 1189).

Thomas s'enfuit d'Angletrre pour se réfugier auprès dun roi de France

Thomas s'enfuit d'Angletrre pour se réfugier auprès dun roi de France

Né en 1118 de parents d’origine normande,

Chancelier du roi d'Angleterre Henri II Plantagenêt qui, le fait élire primat d’Angleterre en en 1162, il démissionne de sa fonction de chancelier en fin 1162

]. Mais l’amitié des deux premiers personnages du royaume dès 1163 se détériore.

Octobre 1163 : Henri II convoque à Westminster un concile et il demande que les clercs coupables de délits ou crimes de droit commun soient défroqués et jugés par des cours laïques et non par des juridictions laïques.

1164 à Clarendon, Henri II réunit "les grands du royaume", prélats et barons et leur présente les droits traditionnels du roi d'Angleterre sur l'église. Becket accepte puis refuse cette "constitution de Clarendon"

Becket est  chassé de son siège d’archevêque de Cantorbéry et se réfugie en France auprès du roi.

En  une réunion à Bayeux (Calvados) sous l'égide du roi de France et de Richard de Bohon paraît sceller la réconciliation entre les deux hommes. Elle est de courte durée. 

Henri II souhaite faire couronner son fils Henri le jeune, or le pape rappelle à tous les évêques d'Angleterre que, par privilège, seul l'archevêque de Canterbury est habilité à couronné les rois d'Angleterre. Thomas Becket est absent et reste intransigeant.

Le 14 juin après un accord secret (non confirmé) entre Henri II et le pape Alexandre III , Henri le Jeune est sacré à Westminster par l'évêque de York.

Juillet 1170 Henri et Thomas se réconcilient à nouveau. Mais Thomas de retour à Cantorbury a l'intention de châtier ceux qui ont couronné Henri le Jeune.

Thomas Becket reste intransigeant.

Henri entre dans une violente colère. Alors qu’il se trouve près de Caen (Calvados), il s’exclame, furieux : « Qui me délivrera de ce prêtre qui trouble le royaume ? » [1].

Quatre seigneurs normands : Guillaume de Tracy, Hugues de Morville, Richard Lebreton et Renaut fils d'Ursey, le prennent au mot et partent aussitôt à Cantorbéry, et le 29 décembre 1170 assassinent  le prélat dans sa cathédrale

 En Angleterre, en Normandie et à Rome, ce crime soulève une immense émotion.

Au terme de longues tractations avec le pape, Henri II accepte de désavouer publiquement l’assassinat du primat. La cérémonie a lieu le 21 mai 1172 en la cathédrale saint André d'Avranches, en présence de tous les prélats normands, entouré des légats du pape, il reçoit l’absolution en s’agenouillant sur une pierre, sous le portail de la cathédrale, la seule pierre  qui subsiste aujourd'hui de la cathédrale Saint-André.

Barfleur, Rue Saint Thomas, à propos de Thomas Becket

« N'y aura-t-il personne pour me débarrasser de ce prêtre turbulent ? »

Meurtre de Thomas Becket, cathédrale de Bayeux, peinture du XIXème siècle.

Meurtre de Thomas Becket, tympan du  transept sud de la cathédrale de Bayeux.

 

 

 

« N'y aura-t-il personne pour me débarrasser de ce prêtre turbulent ? »

Meurtre de Thomas Becket, tympan du  transept sud de la cathédrale de Bayeux.

 

Le tympan du transept sud de la cathédrale de Bayeux représente entre autre des moments importants de la vie de Thomas (traversée de la Manche pour se réfugier auprès du roi de France et assassinat).

Cathédrale de bayeux

Cathédrale de bayeux

(Source - Raymonde Foreville / La diffusion du culte de Thomas Becket dans la France de
l'Ouest avant la fin du XIIe siècle In: Cahiers de civilisation médiévale. 19e année (n°76), Octobre-décembre 1976. pp. 347-369).

En attendant de me rendre à Coutances pour compléter les illustrations, je vous propose un lien.

Eglise / Etat quelles lois prédominantes, un sujet d'actualité, un exemple parmi beaucoup d'autres.


Raphaël Enthoven

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@Enthoven_R
4 h
il y a 4 heures


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Raphaël Enthoven a retweeté
🇫🇷
MarleneSchiappa
"Les valeurs et les lois de la République prévalent sur toute règle religieuse."
Qui est en désaccord avec cette phrase ?
Merci à @MarleneSchiappa - qui en est garante - de rappeler l'évidence avec autant de clarté que de fermeté
#laicite

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Horsain avez vous pensé et dit

Publié le par Ph L

Clara Dupont-Monod a écrit "La révolte" (éditions Stock). Richard Cœur de Lion met en scène la révolte d'Aliénor d'Aquitaine et de deux de ses fils Richard et Jean contre leur père Henri Plantagenêt, Henri II roi d'Angleterre. En épousant Aliénor d'Aquitaine, Henri agrandit son domaine, mais il ne laissera jamais la gouvernance à sa femme. (Voir la publication précédente).

Dans ce roman Clara Dupont-Monot imagine une lettre posthume d'Henri à son fils Richard, lettre dans laquelle il explique son comportement. Je retiens le passage dans lequel il est fait une différence entre le natif d'une région et l'étranger.

Raide dans mes bottes plantées dans la terre cotentinoise du Val de Saire je ne suis pas le dernier à  qualifié d'aucuns de horsain ou de parisien et je n'ai pas du tout envie de me faire apprivoiser.  Implanter dans ma région native je ne m'en considère pas moins universaliste.

Je souhaiterais recueillir votre avis sur ces extraits.

Extrait

"J'ai provoqué ta mère sans le savoir. Pour moi, il était naturel de m'imposer en Aquitaine.

On aime une terre parce qu'on lui est étranger. Et je l'étais. Le nouveau venu ressent de la gratitude envers le pays qui l'accueille, il cherchera à le comprendre. Il l'auscultera dans les moindres recoins. Personne ne connaît si bien un lieu qu'un intrus. Le natif lui, ne mesure pas sa chance. Il se comporte en propriétaire. Il se plaint. Tout lui paraît être un droit, et non une chance. quand j'ai mis un pied en Aquitaine, sincèrement, j'ai éprouvé cette reconnaissance exaltée. J'avais hâte d'apprivoiser ses villes et ses châteaux. Mais tous m'ont rejeté. J'ai vite appris qu'un Aquitain ne supporte pas la main mise. Ils ont l'indépendance dans le sang."

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Barfleur et Aliénor d'Aquitaine

Publié le par Ph L

Barfleur et Aliénor d'Aquitaine

Dans son roman "La révolte"(édition stock) Clara Dupont-Monod par l'intermédiaire de Richard Cœur de Lion nous conte l'histoire d'Aliénor d'Aquitaine sa mère et épouse de Henri de Plantagenêt duc de Normandie, roi d'Angleterre (Henri II).

Les faits narrés ci-dessous sont "véridiques" et sont des citations empruntées au roman.

Après le naufrage de la Blanche-Nef en 1120, un autre en décembre 1154 aurait pu changer le cours de l'histoire de la royauté et du pays, de l'Angleterre

 

"Un soir d'hiver 1154, elle doit embarquer depuis le port de Barfleur ...Dans ses bras elle tient son enfant, né un peu plus d'un an après ses noces. Il s'appelle Guillaume. ... Elle est à nouveau enceinte.

L'équipage scrute le ciel. Nuages bas, mer creuse, il faudrait reporter la traversée. Mon père s'y oppose. Depuis des semaines il insulte le vent. ...

Le Plantagenêt marche à grands pas sur les quais. De loin, découpée du ciel sombre, sa tête virevoltante évoque une flamme. Soudain, il ordonne aux équipages d'embarquer. … Ses barons Normands tentent de le dissuader. Il répond que ce 6 décembre est le jour de la saint Nicolas, patron des marins et des voyageurs.

Lorsque Aliénor touche le solanglais, des mains se précipitent pour la tenir. ..

Sur les six bateaux, deux ont coulé.

Les mains sur le ventre, Aliénor tient à peine debout. Dans la cohue elle cherche le Plantagenêt, il ne l'a pas attendue. Il galope vers Londres avec ses seigneurs normands.

...

A l'arrivée, on lui annonce que le palais de Westminster est en travaux. …

Elle est accueillie par l'archidiacre Thomas Becket.

Il informe aussi Aliénor qu'elle ne pourra pas revoir l'Aquitaine avant longtemps. Si elle souhaite regagner le continent elle devra séjourner en Normandie terre des Plantagenêt."

En février 1155 Aliénor accouchera d'un second fils Henri.

 

 

J'ignore si saint Nicolas a rendu possible la traversée d'Henri II, d'Aliénor (1122-1204) son épouse, son fils Guillaume et des Barons normands. Il est toujours vénéré dans l'église saint Nicolas et il fait face à la mer du haut d'un tout nouveau épi de faîtage.

 

Gisant d'Alienor Abbaye de Fontevraud

Gisant d'Alienor Abbaye de Fontevraud

"D'abord ton père (Henri Plantagenêt) l'a enfermée (Aliénor) dans la tour de Chinon. Puis il l'a sortie pour l'emmener en Angleterre. Au moment où je te parle, il est à Barfleur. Il s'apprête à s'embarquer. ça ne t'étonnera pas il est avec ton frère Jean (Jean sans Terre), qui voit donc votre mère prisonnière. Ah parmi les captifs, il y a aussi… ta fiancée, Aélis. Avec sa fille en otage je ne suis pas sûr que Louis (Louis VII 1120-1180, roi de France) se batte encore longtemps".

 

Encore un extrait du roman de Clara Dupont-Monod qui vient compléter ma publication du 2 décembre 2018 "Je débarque et j'embarque" consacrée à Barfleur port Ducal.

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Réville 1918>2018, une exposition

Publié le par Ph L

Réville 1918>2018, une exposition

Réville 1918>2018, une exposition

Pour commémorer le centenaire de l'armistice de 1918 la municipalité a choisi de faire appel aux habitants pour du prêt de documents de soldats et de l'époque de la vie quotidienne.

A voir jusqu'à dimanche 18 novembre.

Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition
Réville 1918>2018, une exposition

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14 octobre 1066 Hastings

Publié le par Ph L

14 octobre 1066 Hastings

D'après la reproduction de la tapisserie de Bayeux.

D'après la reproduction de la tapisserie de Bayeux.

Harold couronné roi d'Angleterre, Guillaume duc de Normandie ne l'accepte pas et il débarque avec ses troupes en Angleterre et la bataille d'Hastings du 14 octobre 1066 mènera Guillaume sur le trône et sera couronné à Londres en décembre 1066.

Emile Jean Horace Vernet 1828

Emile Jean Horace Vernet 1828

La mort de Harold à la bataille d'Hastings, peinte par Horace Vernet (Musée Thomas Henry de Cherbourg)

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Barfleur, salon du livre, dimanche 1er avril

Publié le par Ph L

Barfleur, salon du livre, dimanche 1er avril

Président d'honneur :Dominique François et Gaëlle François

"I want you" éditions OREP

"La Première Guerre mondiale fut le premier conflit international de l'histoire, faisant plus de 20 millions de morts, dont 11 millions chez les soldats des différentes nations engagées. Les États-Unis qui, au début du conflit, avaient fait le choix de rester neutres, s'engagèrent le 6 avril 1917 suite à la déclaration du président Woodrow Wilson. Le corps expéditionnaire américain, commandé par le général John Pershing, débarqua en France au début de 1918 au rythme de 10 000 soldats par jour, à une période de la guerre où les Allemands étaient incapables de remplacer leurs pertes. Les jeunes soldats de l'Oncle Sam, aux côtés des soldats français aguerris, découvrirent de nouvelles façons de combattre, mais rapidement, dévoilèrent leurs qualités de combattants et changèrent le cours de la guerre. Le 11 novembre 1918 à 11 heures, plus de deux millions de soldats américains avaient servi sur les champs de bataille et plus de 53 000 avaient perdu la vie." Editions OREP

Barfleur, salon du livre, dimanche 1er avril

Des auteurs du Cotentin ont réalisé un ouvrage collectif  "des histoires au cœur de l'Histoire"

Maud Fauvel, Jocelyne Corbel, Laurence Métayer, Joseph Fromage, Éric Jardin et Franck Lamache, Jean-Claude BOSCHER, Michel Lebonnois

 

Céline Guenolé

 

Roger JOUET

 

Eriamel scénariste de BD

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Maurice FICHET

 

Autres auteurs :

Michel Hébert, Daniel Lesage, Michel Lebonnois, André Davy, Joseph Fromage ... à suivre

40 auteurs présents

 

Jean-Sébastien BLANCK

Jean-Claude BOSCHER

Daniel BOUET

François ROBINARD

André BRUGIROUX

Jocelyne CORBEL

André DAVY

ERIAMEL

Sybille de BOLLARDIÈRE

Si-eds VAN STOBOS

Dany DEB

Maurice FICHET

Joseph FROMAGE

Gordon ZOLA

Céline GUÉNOLÉ

Roger JOUET

Sami JACK

Michel HEBERT

Daniel LESAGE

Léo KARO

Michel LEBONNOIS

Joseph LECLERC

Olivier LEDUC

Stéphane MARTIAL

Sandrine LECONTE

Stéphane MAILLOT

Marc MASSE

Laurence METAYER-LAMBERT

Nadine MOUSSELET

Bruno MOUTARD

Philippe PESNELLE

Brigitte PIEDFERT

Michel RIOU

Catherine RINALDO

Philippe TYPHAGNE

Françoise SAVEREUX

Philippe SIMON

Krystin VESTERALEN

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Les guerres de religion

Publié le par Ph L

Les guerres de religion

Le châtau du Tourps à Anneville en Saire, vestiges de l'ancien château

Le châtau du Tourps à Anneville en Saire, vestiges de l'ancien château

 

 

Les Guerres de Religion (XVIème siècle) ont produit d'importants conflits dans le Val de Saire et de nombreuses communes ont été impactées. Il reste peu de monuments de cette époque liès aux évènements, mais d'autres ont été reconstruits à proximité.

En cette année européenne du patrimoine, cela pourrait servir de fil conducteur pour découvrir notre région et son histoire. Je vais ouvrir sur ce thème une page.

Pour introduire cette page (je reviendrai pour donner l'adresse URL) une citation du journal de Gilles de Gouberville contemporain.

 

 

La tour du manoir d'Arville au Mesnil au Val

 

Les prémices du drame sont rapportés au seigneur du Mesnil-au-Val le dimanche 7 au soir par ses serviteurs, relatant qu'ils "ouyrent sonner le toquesainct à Vallongnes et à Alleausme". Des précisions sur les causes de l'alerte parviennent au manoir le lendemain après-midi :  "Led. jour, la relevée, on me dist que, hier soyer, sur les cinq heures, il y avoyt heu à Vallongnes une si grande esmotion populayre qu'on avoyt tué le sieur de Houesville, le sieur de Cosqueville, maistre Gilles Mychault, médecin, Gilles Louvet, tailleur, Robert de Verdun et Jeban Giffart dict Pont-1'Évesque, et plusieurs  blessés, et les maisons de Cosqueville pillées et destruyctes, et que les corps  des detfuncts estoyent encor en la rue ce jourd'huy apprès mydi, où les  femmes de Vallongnes venoyent encor donner des coups de pierre et de baston  sur lesdits corps, et fut dict aussy que la maison de maistre Estienne Lesney,  esleu audit Vallongnes, sieur de Haultgars, avoyt esté pillée et destruycte.  Charlot partit sur les deux heures pour aller à Vallongnes sçavoir an certain ce que dessus et revinst apprès soleil couché, et me dist que tout ce que dessus estoyt  vray, et que le peuple de Vallongnes estoyt grandement courroussé".

 

Théodore de Bèze écrit Il indique alors comment, "ceux de la religion romaine accourant en armes" assaillirent la maison du dénommé Etienne Lesnay, toute proche du temple où se rassemblaient les protestants, pour en assassiner les occupants.

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Gilles Picot, sire de Gouberville et de Mesnil-au-Val

Publié le par Ph L

Gilles Picot,
sire de Gouberville et de Mesnil-au-Val

La tour du XVème siècle

La tour du XVème siècle

IL m'arrive fréquemment de citer Gilles de Gouberville et son journal(1549-1562).

Si vous souhaitez en savoir plus, écoutez cette émission de France-Culture, durée 1h 5min.

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Les Normands en Méditerranée

Publié le par Ph L

Les Normands en Méditerranée

La "Société d'Archéologie et d'Histoire de la Manche" vient de publier un numéro spécial de la Revue de la Manche consacré aux Normands en Méditerranée.

 

prix du numéro : 12€

Pour commander cet ouvrage :

sahm.normandie@orange.fr

Le cloître et la fontaine de Montreale (Sicile/Palerme)

Le cloître et la fontaine de Montreale (Sicile/Palerme)

Le plan de la publication d'Eric Barré

Les Normands en Méditerranée
Les Normands en Méditerranée

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