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Aumeville-Lestre : situation générale

Publié le par Ph L

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 Situation générale

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Canton : Quettehou

Arrondissement : Cherbourg-Octeville

Superficie : 244 hectares

 Population : 139

Code INSEE : 50022

 Code Postal : 50630

Altitude : de 0 à  41 mètres.

Commune littorale, membre du Parc Naturel Régional des Marais du Cotentin et du Bessin.

 

Aumeville : du latin villa qui signifie domaine rural, précédé du nom de personne vraisemblablement germanique Adalmodus.

Lestre : sens incertain. Lestra qui pouvait aussi bien désigner le jardin d'une maison que le fossé d'un ouvrage fortifié.

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 Si l'école n'accueille plus d'enfants (les jeunes scolaires vont à Quettehou) une boulangerie continue à proposer ses pains aux habitants.

 

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  Aumeville-Lestre : sentier de randonnée

 

 

 

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René Lepelley Mots et parlures de Normandie : le livre du mois

Publié le par Ph L

René Lepelley Mots et parlures de Normandie : le livre du mois.

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 René lepelley vient de présenter sa nouvelle publication aux éditions Isoète.

"Mots & parlures de la Normandie, en long, en large et en travers ".

 

Cet ouvrage fait suite à

 

"Mots et parlures du Cotentin

et autres lieux de Normandie"

en 20 rubriques décousues et néanmoins savantes.

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Je n'ai lu à ce jour que la douzième rubrique "les produits alimentaires à base de farine : pains de chanoines et fale des Rois".

On y apprend tout sur le sens l'étymologie des mots : pain, gâteau, gâche, cimenet, garrot, fouace, brioche, brasiller, toast, tourte, bourde, bourdelot, cônue, côné, , galette......

Les lecteurs habitués de ce blog doivent en connaître quelques uns. Ci-dessous j'ai fait remonter la publication d'un article consacré aux échaudés. Les futurs lecteurs de René Lepelley y trouveront des illustrations de ses propos.

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Deux photos pour illustrer ce que aujourd'hui nous appelons "gâche" dans le Val de saire et plus spécialement au Vast..

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Deux produits appelés "gâches".

 

brioche--pate.jpgBrioche, "ce nom apparaît pour la première fois dans un texte rouennais de 1404", écrit René Lepelley  briochest-010.jpg

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Des échaudés : garrot, cônet, cônu, cimenet

Publié le par Ph L

Le "cornu" ou "cimenet",
Cet échaudé était vendu à la foire de La Pernelle comme l'atteste cette carte postale (vers 1900) et à la foire de valcanville, je l'affirme sur la foi du témoignage de Napoléon J. qui fut mon voisin . Quand la production a-t-elle cessé ? Je n'ai aucun élément pour avancer une date.
Il était vraisemblablement vendu dans d'autres foires et marchés.
Il aurait été proposé dans les années 1950 sur le marché  de Saint Pierre Eglise
 
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La fabrication et la vente de cet échaudé se pratique à Passais la Conception (Orne) pendant le mois de mai et plus particulièrement à l'Ascencion, période de pélerinages; mais aussi à l'occasion de fêtes comme le 15 août. je n'ai pu obtenir que peu de renseignements sur sa fabrication. une certitude il ne contient pas de beurre, mais localement il se déguste volontiers avec du beurre salé.


 

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Le garot
ou garrot
Le garot ressemble plutôt dans sa finition à un pain. Mais il s'agit bien d'un échaudé. Apparemment la réussite tient à la préparation du levain et à la manière de faire lever la pâte. je l'ai vu sur les foires de Lessay et Brix. En 2007 et 2008 il n'en était plus proposé à ma connaissance. Son origine serait aussi ancienne (remonterait aux gaulois ?). Il était embarqué sur les bateaux qui quittaient le port pour plusieurs jours. je vois là une confirmation d'une bonne conservation dans des conditions difficiles d'air marin.

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Le four traditionnnel
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A droite la bassine pour cuire dans l'eau bouillante et dans la cheminée, le four à bois.
La technique de fabrication de l'échaudé est très ancienne, elle remonterait au moins au Moyen-Age.
Cette patisserie faite à base de farine, d'eau, d'oeufs, peut selon les cas contenir du lait et/ou du beurre.
La pâte dans iun premier temps est plongée dans de l'eau bouillante dans laquelle elle s'enfonce. Lorsque le produit remonte à la surface, il est cuit. Il est alors plongé dans de l'eau froide, ce n'est que plus tard qu'il sera cuit au four.
Mon propos aujourd'hui concerne des échaudés traditionnels normands qui ne se fabriquent plus (cornu et garrot) ou qui risquent de disparaître. je les montre dans les articles ci-dessus. Je recherche tout renseignement concernant ces pâtisseries. lieux de fabrication, recettes, lieux de ventes, images. Des échaudés il en existe d'autres comme le craquelin de la vallée de la Rance ou l'échaudé dit "anis" de Carmaux. Si vous en connaissez d'autres je suis preneur merci à l'avance.

  Article repris en publication le 11 avril 2010

je fais une deuxième publication de cet article en illustration de celui d'aujourd'hui (avril 2010) consacré au nouveau livre de René Lepelley qui vient de paraître en librairie.

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Réville 11 avril : bourse, échange des plantes

Publié le par Ph L

Réville : bourse, échange des plantes

 

Demain diimanche 11 avril nous serons au château de Réville pour participer à la bourse aux plantes .

Au menu :

Fatsia,

Palmiers

Agapanthes,

Framboisiers .....

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Un p'tit tour dans un jardin voisin

Publié le par Ph L

Un p'tit tour dans un jardin voisin

 

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  J'ai plusieurs articles en chantier mais que je ne peux pas publier en ce moment car ils s'articulent sur plusieurs saisons, ma documentation n'est pas encore complète.

Alors je vous propose comme nous le faisons tous en ce moment, un p'tit tour dans un jardin pour vérifier qu'en ces jours printaniers les bourgeons sont en train d'éclore (images du 9 avril 2010).

09042010-040--orme  09042010-020-orme Orme de Sapporo résistant à la graphiose. 
 09042010-050--ensemble  09042010-030-hetre Hêtre
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Pêcher

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Prunier

 09042010-100-poirier Poirier

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Gunnera

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Dans le Val de Saire, Videcosville : l'église

Publié le par Ph L

Videcosville : l'église

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 Eglise-600-statue   L'église, qui dépendait du seigneur du lieu, souffrit beaucoup en 1776 d'un ouragan. On y fit d'importants travaux de restauration entre 1840 et 1850, date de la sacristie.
Elle fut couverte en chaume jusqu'à cette date. Le clocher, dont le projet datait de 1865, ne fut achevé qu'en 1900. Jusqu'à cette date, la cloche se trouvait pendue entre la fourche d'un arbre, à l'entrée du cimetière. Cette église possède une belle Vierge à l'Enfant en pierre du XIVème siècle et un porche gothique.
 Eglise-620-vitrail-stMartinVidecosville dont la fête patronale est la saint-Ouen, posède aussi une source Saint-Eloi.  Eglise-630-vitrail-stOuen

Claude Pithois écrit : "Après la révolution, la paroisse fut annexée à celle de Crasville, mais bientôt en 1809, à la demande des habitants elle fut rattachée à Octeville l'Avenel. En 1826, on l'érigea en suucursale, grâce aux démarches d'une demoiselle Geneviève Gréard, qui dit-on, allait à pied à Coutances pour demander à l'évêque du temps Mgr Dupont, un curé pour VIdecosville. "

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Videcosville : présentation générale

Publié le par Ph L

Videcosville : présentation générale.

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Canton : Quettehou

Arrondissement : Cherbourg

Superficie :  251 hectares

Population : 86

 

Code INSEE : 50634

Code Postal : 50630

Altitudes : de 39 à 87 mètres.

Videcosville : prononcer Vid'côville

Videcoq : grosse bécasse

Source
Videcosville, dont la fête patronale est la Saint-Ouen, possède une source Saint-Eloi.

 

 

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Fatsia Japonica ou palmier à feuille de figuier.

Publié le par Ph L

 Fatsia japonica, Fatsi ou Aralia japonais ou  faux-aralia, ou faux-ricin ou palmier à feuilles de figuier

 

Le bosquet présente de gauche à droite trois types d'arbustes : laurier, mimosa, et fatsia.

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Fatsia japonica, connu sous le nom de Fatsi ou Aralia japonais, aussi faux-aralia, ou faux-ricin ou palmier à feuilles de figuier, est un arbuste de 3 à 6 m de hauteur originaire du sud du Japon. Le bois rappelle celui du figuier.

 

Les feuilles ont 7 à 9 larges lobes bordés de grosses dents émoussées. Le nom "Fatsi" vient du vieux japonais. Le nom "Aralia du Japon» est dû au fait que l'espèce était précédemment classée dans le genre Aralia (notamment avec les synonymes Aralia japonica et Aralia sieboldii).

C'est un arbuste d'appartement ou de jardin couramment utilisé comme plante ornementale dans les zones où les températures d'hiver ne tombent pas au-dessous de -15 ° C. Dans mon jardin, il a plus de cent ans (présence attestée par une ancienne carte postale) et a donc connu des hivers plus rigoureux.

 

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Le 28 octobre 2009

Floraison : à l'automne, nectarifère. petites ombelles globuleuses de minuscules fleurs.

 

Fruits : petites baies noires.

 

Feuillage : persistant, vert foncé brillant. Grandes feuilles palmilobées.

 

fatsia-031-inflorecenceMars 2010

Avril 2010

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Un p'tit tour au jardin

Publié le par Ph L

Un p'tit tour au jardin

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Cheminées traditionnelles du Val de Saire

Publié le par Ph L

Cheminées traditionnelles du Val de Saire


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  Quand j'ai montré les souches de cheminées dans un article précédent (17 mars 2010), le poids qu'elles représentent a inquiété un certain nombre de lecteurs.

Cette photo pour montrer qu'elles se situent sur un mur porteur et que souvent ce sont des pierres taillées.

 

Voir album qui se complète au fur et à mesure de la réalisation des clichés ou de la consultation de mes archives.

 

Voir l'album

 

 

 

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cheminee-int-710Cheminée, intérieur maison rénovée. L'âtre a été rehaussé pour éviter l'enfumage.

 


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Cheminée, intérieur traditionnel, l'âtre aussi a été rehaussé.
 

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 Intérieur traditionnel, image d'archives  
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Deux cheminées anciennes avec "décorations" (XVI ou XVIIème siècle ?)



 

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