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| Retrouvez les bateaux en mer |
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En suivant ce lien vous pouvez en temps réel suivre la position des bateaux de toutes catégories dont la balise set activée. J'ai repéré quelques unités de pêche, en voici des images. |
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| La position des navires | ||||
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Je viens de découvrir une application que j'estime fort intéressante, elles donne en temps réel la position des bateaux munis d'une balise activée. Elle met en évidence les embarras du rail dans la mer de la Manche. Un clic sur l'image ci-dessus permet d'accéder au site. |
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| Coquille saint jacques : zones de pêche |
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| L'ouverture de la pêche à la coquille saint jacques, hors baie de Seine, est ouverte depuis le 01/10/2012. un nouvel arrêté en date du 04/10/2012 modifie les zones de pêches et dates autorisées. sans avoir d'avis de pêcehur je constate que deux nouvelles zones ont tété ouvertes. je rappelle les diffcultés de faire les quotas dès les premiers jours. |
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| Une carte ne suffit pas , il faut aussi le tableau car les autorisations de pêche sont liées à des dates, ci-dessous. |
| Carte et tableau sont obtenus à partir des arrêtés de la Direction Interrégionale des territoires et de la Mer. Pour accéder à ces documents clic ICI |
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Voir la carte précédente. A suivre |
| Bon appétit |
| Coquilles saint Jacques : ouverture et amertume |
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Ouverture 1er octobre 0h00.Les Bas-Normands étaient au rendez-vous. Les prospections laissaient prévoir une ressource abondante en coquilles de trois ans. Sur site désenchantement et au final le quota n'y était pas. Depuis un mois les Britanniques se sont servis, ils ne sont soumis à aucune règlementation. Et le comble ces produits pêchés par ces importants navires risquent de nous revenir en surgelé.
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| Je les ai achetées ce matin, au bateau, 3€ le kilogramme. |
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| Pour préparer la coquille : retirer la valve supérieure avec un couteau à longue lame. Ensuite faire une incision entre la poche noire (sans la crever) et le muscle adducteur blanc, alors les barbes se retirent facilement. |
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| Pour les déguster, une fondue d'échalottes ou de poireaux. inutile de préparation sophistiquée pour apprécier ce délice de la mer. |
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source web en savoir plus sur la coquille saint jacques document IFREMER |
| La moule de Barfleur Mytilus Edulis |
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Communiqué de presse (IFREMER) Dans le cadre d'une étude sur les gisements de moules de l'Ouest de la Baie de Seine, l'IFREMER et le Comité Régional des Pêches de Basse-Normandie vont lâcher 6 bouées dérivantes entre Luc sur Mer et Grandcamp Maisy (Côtes du calvados) |
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| D'après des documents IFREMER |
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C'est fin des années 1970 (1978) que des pêcheurs de Saint Vaast, rejoints par des pêcheurs de Grandcamp ont commencé l'exploitation des gisements de moules en eaux profondes, redonnant ainsi une forte activité au port de Barfleur. des armements de Granville se joindront aux locaux. Cette nouvelle activité sera une des raisons de la création du Comité Local des Pêches du Cotentin. Assez vite vont survenir des difficultés liées pour les nouveaux venus dans le métier, à la monopêche. Difficultés dues à une surpêche mais aussi à une irrégularité dans le renouvellement du stock et à un manque de connaissance sur le sujet. Il faudra au moins une année fermer cette pêche. Le Comité des pêches parvient à une organisation de la profession avec licences, et quotas. une chargée de mission procède à l'étude de ce bivalve et à sa pêche. |
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Chaque année se repose la question de savoir si le naissain s'est bien implanté... et le phénomène n'est toujours pas éclairci. Dans le années 90, Jean-François DUBOST professeur de biologie au collège de Saint Vaast la Hougue mène une expérience avec ses élèves : il lance des bouteilles à la mer et à partir des retours (surprenants parfois) et résultats obtenus il arrive à la conviction que les moules dites de Barfleur proviennent de larves venues des gisements naturels des côtes du Calvados.J'ai envie de dire que les bouées qui vont être lancées sont la version actuelle et modernisée des bouteilles de Jean-François. L'expérience a bien sûr pour but de mieux connaître la courantologie et donc de mieux comprenfdre l'impla,tation du naissain. |
 Stades larvaires de la moule (document IFREMER)
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| Pour compléter ce rapide historique il faut signaler (en faisant très bref) les obligations faites d'un point de débarque d'où la création de bassins et de l'atelier. Mais là il me faudrait écrire un roman, je me réserve quelques chapîtres pour plus tard. |
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Documentation http://envlit.ifremer.fr/content/download/34084/281640/version/1/file/moule.pdf
http://wwz.ifremer.fr/lern/Aide-a-la-decision/DILEMES
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Production de 5000 tonnes à 10 000 tonnes nous sommes loin des plus de 20 000 tonnes des premières années. S'il y a eu baisse quantitative, l'amélioration qualitative est évidente. A titre d'exemple le label Normandie fraîcheur mer et peut être bientôt une IGP (Indication Géographique Protégée) |
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Moule de pêche de Barfleur En 2011, le Groupement Qualité NFM a de nouveau participé à la prospection moules organisée par le CRPBN, IFREMER et INTECHMER afin d’évaluer l’indice de condition sur les gisements. prélèvements d’avril et de juin, la qualité des moules sur le gisement de Réville, seul gisement ouvert et exploité, s’est révélée excellente (IC de 32 et 31%). La campagne de pêche et la période d’identification NFM des moules de l’Est-Cotentin a duré 6 mois ½, du 14/06/11 au 30/12/12. commercialisation de Moule de Barfleur NFM a atteint 892 tonnes, soit la meilleure saison depuis le démarrage de la démarche en 2001. Cela représente une hausse de 97.8% par rapport à l’année précédente. Pourtant en 2011, seul 5 des 6 adhérents précédents ont pu participer à la démarche ; l’armement Le Hintar ayant subit un incendie du navire.
L'indice de chair moyen a été de 34% (24 à 44% suivant les lots) pour 115 moules/kg (69 à 175 suivants les lots) et une taille moyenne de 51 mm (variation de 45 à 59 mm). La présence de crabes a été faible (17%) comme celle des épibiontes (2%) et de moules cassées (3%). Les contrôles et suivis ont été réalisés bi hebdomadairement au Centre de Débarque à Barfleur ; pour tous les navires adhérents afin de suivre au mieux le niveau de qualité des moules. Sur les 146 contrôles et suivis effectués au Centre de Débarque à Barfleur, 23 lots se sont révélés non conformes (moules cassées par fragilité de la coquille jusqu’à la semaine 38 et présence faible de sédiment en tout début de saison). |
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Pour le consommateur, la moule de Barfleur Normandie Fraîcheur Mer, c’est une quadruple garantie : > GARANTIE D’ORIGINE SUR LES GISEMENTS NATURELS Les moules de pêche (Mytilus edulis) sont pêchées de manière traditionnelle, à l'aide d'une drague, sur les gisements situés à l’Est du Cotentin. > GARANTIE DE QUALITE Charnues, propres, dessablées et non abîmées, les moules de Barfleur NFM répondent à des critères de qualité exigeants (eaux de catégorie A, propreté de la coquille, taux de chair ≥ 23%). Les moules ne mesurant pas la taille conforme (au moins 4 cm) passent au travers d’une grille de tri et sont rejetées à l’eau sur les lieux de pêche, pour un meilleur respect de la ressource. A terre, elles sont ensuite placées en bassin de dessablage au centre de débarque de Barfleur pendant 4 à 6 heures. > GARANTIE DE FRAICHEUR Expédiées immédiatement dès leur sortie des bassins de dessablage, les moules arrivent bien vivantes sur l’étal des poissonniers en moins de 36 heures depuis leur capture en mer. > GARANTIE DE TRAÇABILITE Les Moules de Barfleur sont soumises à un double étiquetage. L’étiquette sanitaire obligatoire comporte notamment le nom et l’adresse de l’expéditeur, la date de conditionnement, le mode de production, le poids et le N° de lot. Une étiquette commerciale « Moules de Barfleur Normandie Fraîcheur Mer » accompagne l’étiquette sanitaire : elle signe la qualité des moules sauvages de Barfleur, garantit l’origine du produit et assure une traçabilité totale jusqu’au consommateur. |
| Barfleur, est Cotentin : elle débarque "Belle, Blonde et sauvage" | ||||
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"Belle Blonde sauvage"
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| C'est fin des années 70, début des années 80 que les gisements de Barfleur ont été à noueau exploités, redonnant vie au port de Barfleur . Venus de Saint Vaast, Grandcamp, Granville ... les unités se serraient contre le quai Henri Chardon. | ||||
| Ostréiculture, concyliculture |
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je poursuis avec quelques photos, des diapositives qui avaient été numérisées : le thème, l'ostréiculture, la conchyliculture. en ce temps là on élevait encore des huitres à plat, hors des tables. |
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| Un essai de culture de la palourde a été réalisé vers Lestre, la palourde étant particulièrement nomade, des filets avaient été placés. A ma connaissance l'expérience n'a pas été prolongée. |
| La coquille Saint Jacques (photos archives) |
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| La coquille Saint jacques a longtemps été une spécialité saint Vaastaise avec un grande importance pour la pêche en baie de Seine. Certaines années l'accostage de tous les bateaux candidats à ce métier posait quelques difficultés de place avec des unités venues de Dieppe et Fécamp. |
| Les pétoncles, les vanneaux, les silleux |
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Ce qui est débarqué ici ce sont des "olivettes" ou des "vanneaux", ou des "silleux" ou des "pétoncles". Mais attention selon l'endroit où l'on est un mot peut désigner autre chose. Exemple "silleux" s'emploie pour les coquilles Saint jacques qui se dénomment officiellement "pecten maximus" |
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| Les olivettes ne sont pas très couramment pêchées, c'est un coquillage délicat et dont la conservation n'est pas facile. |
| Photos archives, débarque à Barfleur. |
 Trois noix de pétoncles dans une coquille saint-Jacques
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| Pêche traditionnelle : les cordiers (photos d'archives) | ||
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Un métier : les cordes, connu ailleurs sous l'expression "palangre". cette technique très en pointe chez les barfleurais a été maintenue à Saint Vaast par les armements Renet, Doucet et Massieu... Actuellement cette forme de pêche n'est plus très courante (3 unités?). Le "Jean Renet" (ci-dessus) et son patron "Charlot" avaient une solide réputation. La débarque après une marée de 48 heures était suivie par tous les St Vaastais et autres. |
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| Comme on peut l'observer sur ces images, les "requins" constituaient des prises importantes. | ||
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| Le lançon, autres maquereaux et seiches servaient d'appât (boëte). | ||
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